Je sais, comme accroche, c'est pas terrible. Mais pour le moment, je n'ai pas grand chose à vous raconter. Ah, si !..... Euh, non, finalement c'est pas important.
Alors, je vais faire comme nos hommes politiques : je vais vous en pondre au moins 15 lignes mais, attention, sans rien vous dire de concret.
Achtung, ça commence :
Selon des sources autorisées, il semblerait que l'intérêt du public pour la vaccination contre la grippe A, également connue sous le vocable H1N1, soit inversement proportionnel au montant des dépenses engagées pour affronter cette pandémie. Toutefois, certaines sources affirment, quant à elles, qu'il faut encore attendre un peu et que, sans doute, il y aura vraisemblablement un déclencheur salutaire qui incitera les français à se poser la question de l'intérêt pour une telle mesure, mesure décidée dans les hautes sphères sans qu'il y ait eu de réel effort pour tenter de convaincre les masses de la nécessité de se soumettre à l'injection prétendument salvatrice.
Il est toutefois permis de douter de l'efficacité d'un discours fondé sur des affirmations scientifiquement non démontrées, ou au minimum, très controversées, voire simplement énoncées avec pour seul objectif de créer une psychose destinée à améliorer les profits de grands laboratoires.
Mais peut-on accorder du crédit à ces allégations quand on suppute qu'elles émanent peut-être de milieux proches des laboratoires concurrents n'ayant pas développé la petite bébête qui fait peur et qui, de ce fait, vont subir un déficit de notoriété pouvant entraîner un déficit tout court, lequel pourrait mettre en péril leur activité dans d'autres parties du monde où, comme chacun sait, ils offrent gracieusement leurs médicaments - perimés, certes - mais gracieusement quand même.
La démonstration estt faite qu'il fallait vous laisser libre de choisir. Je précise cependant qu'il existe d'autres voies à explorer, dont on peut se demander pourquoi elles n'ont pas été portés à la connaissance du public. Sans doute porteraient-elles atteinte aux intérêts de ceux qui prétendent le contraire ? Allez savoir.
En tout cas, moi, j'ai rempli mon contrat : je n'ai rien dit.
Bonne fin de journée, mes amis.
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